Mr. Cannibal


Haaaaaa ! J'ai si faim ! J'ai besoin de sang et de chair fraîche pour assouvir mon estomac hurlant à la famine. Cela fait déjà près de 24 heures que je ne me suis pas nourris. Mon dernier repas n'était qu'une jeune fille maigrichonne, et je dût gruger les os pour me rassasier. Mais bon, je doit avouer qu'elle avait un sacré bon goût. Elle était très fraîche, je lui avait déjà dévoré la totalité de son bras gauche lorsque qu'elle rendit l'âme. Le goût est toujours supérieur lorsque la victime est encore vivante, c'est pour cela que je les grignotes toujours un peu avant de les tuer. Il était minuit et demi, le temps était venu d'aller dîner. Je sortis donc de ma demeure, un égout de la rue St-Laurent. Je partageais mon domicile avec une tribu de rats que j'ingurgitais a l'occasion quand la faim me vrillait le ventre en plein jour. Je prit la sortie au coin St-Laurent et St-Denis . La porte était la même bouche d'égout que j'avait emprunter la veille. Je me retrouva alors dans la rue noir, car je ne chassait que la nuit, durant le jours, le coin était trop achalander et je ne pouvait pas me nourrir en paix sans que c'est homme en habit bleu vienne me déranger. Une fois j'avait essayé, et plus de 10 bonhommes bleu moustachus tentèrent de me mettre sous arrestation. Je dû tous les dévorer. Leurs chairs est impure, elle a un goût répugnant, jamais plus je ne remangerais cette sorte d'homme, ils sont indigeste ses moustachus à la badge scintillante. Mais bon, je les avait tous bouffer tout de même, car mes parent m'avait appris très jeune à ne pas gaspiller la nourriture, je pensait à mes frères cannibale de l'Afrique qui était en manque de denrées alimentaire et qui se voyait obligés a délaisser la chair fraîche pour de vieux cadavre en décomposition. Regardant la situation comme cela, le goût infecte des hommes en bleu me paraissait moins terrible.

J'était donc rendu à l'extérieur, et aucun dîner potenciel ne s'offrait a ma vue. Je commença donc a marcher dans la rue, et je m'engouffra à l'intérieur d'un petit bistro ouvert 24 heures sur 24. J'alla m'installer a une table, et la serveuse me remis un petit cahier de carton plastifié. Je fit semblant de le consulter, pour ne pas éveiller de soupçons, et pendants ce temps j'évaluait le menu qui s'offrait a moi. Il n'y avait que 4 personnes en vue, un petit maigre assis à une table avec sa bien-aimée aussi menu qu'elle, la plantureuse serveuse, et un gros lard assis au comptoir. Il était bien dodus et semblait tendre. C'est sur lui que je jeta mon dévolue. Il était plutôt appétisant, je commanda donc un coca à la jolie serveuse et le sirota patiement. Après 4 ou 5 minutes, mon futur dînner se leva et se dirigea vers la toilette des hommes. J'attendit 2 minutes et alla le rejoindre. Lorsque qu'il ouvrit la porte pour ressortir, je le repoussa violament a l'intérieur en mettant ma main sur sa bouche pour l'empecher d'émettre un seul son. Ha ! que l'odeur était dégoutante, elle me leva le cœur, mais ne me coupa pas l'appétie. J'avait faim, et sourtout soif, je le mordit donc au cou, car c'est de la jagulaire que sort le sang le plus pur et le plus savoureux. J'avala tout ! Ha ! Quelle bon goût ! Ça faisait un bien énorme. Je prit 3 ou 4 bonne bouché, il était si tendre. Je prit mon repas dans mes bras et je partit par la fenêtre. J'alla me réfugier dans une ruelle et dévora le corps en paix, je men lècha les doigts, il était exquis. Je me garda un bras au cas où j'aurais une petite fringale le lendemain, et je m'engouffra de nouveau dans la bouche d'égout et j'alla me coucher pour digérer cette double portion.

La cacofonie des voitures a l'heure de pointe me réveilla le lendemain. J'avait déjà un petit creux, alors j'ingurgita ce qui me restait du bras de gros lard, les rats avait passés durant la nuit et s'était régalés. Je n'avait pas très faim, pas surprenant bien sûr après le méga repas que je m'était offert la veille. Je décida donc d'utiliser les drôles de pièce métalique qui trainait toujours dans le fond des poches de mes victimes. Une fois, j'en avait vu un donner une de ces pieces à un mec dans un magasin et repartir avec un sac remplis de jolie choses. Dans le monde où l'ont m'a élevé, il n'y avait pas ce drole de truc, j'en avait déja entendu parler dans un de ces livres en papier recyclé, un journal je croit. Ma mère avait réussit à m'apprendre à lire et à écrire. Je me suis toujours dit que ce devrait être inutile, mais bon, j'allait employer cette technique aujourd'hui. J'alla donc dans un depaneur acheter un journal. Bizzarement, tout le monde me regardait de façons étrange à la sortie de chez moi, comme si ils n'avait jamais vu une personne sortir des égouts. Une fois dans le petit dépaneur crasseux, je prit un allechant journal qui titrait : UN AUTRE DISPARU AU CENTRE -VILLE ; LE TUEUR COURS TOUJOURS. Je remis une jolie piece à la dame posté a la caisse, et elle men remit 3 differentes. Ha, ce que les gents du monde extérieur peuvent être stupide, échanger une pièce sale contre 3 qui brillent, c'est vraiment incroyable. Je retourna donc dans mon lit de cailloux pour lire mon acquisition.

C'est en lisant un article dans ce journal que j'appris que j'avait laisser des restes la veille, des petits bout de cervelle et 2 doights. Merde, que m'arrive t'il ? Moi qui était si doué avant. Quoi qu'il en soit je ne commeterait plus de telle bétise, ce soir je vait aller chaser brutalement et me faire des provisions pour les 3 jours a venir, en ramenant les corps chez moi, il n'y a aucun danger de faire du gaspillage.

La nuit tomba, et je sortit de ma tanière, plus déteminé que jamais à effectuer une tuerie digne de mon image. Dès ma sorti, j'apperçus une chose des plus inhabituel. Il avait une moustache, mais portait un espece de petit tutu rose scintillant. Il avait tout de même lair bien commestible, malgré tout ce poil. Je lui pefora le torax à la hauteur du coeur grace à mes précieux ongles que j'affute soigneusement depuis plusieurs années. Touchant son organe battant, je lui arracha aussitot. Quelle ne fut pas ma surprise en regardant la pauvre choses, elle était deja morte ! Néanmoin, j'aracha l'oreillette droite du coeur et je bu le sang à grandes gorgées, avant de le dévorer avec grand appétit. J'avait eu ma leçon, ne jamais arracher le coeur de sa victime, la mort arrive trop subitement et on a même pas la chance de se délecter de la peur et de la soufrance habitant l'ame de nos délicieux repas. Je ramassa le corps et le cacha dans un conteneur à déchet non loin de ça. La chasse ne fesait que débuter.

Non loin de l'endroit ou j'avait caché mon butin, un bruit bizzard attira mon attention. C'était les cris irritant de la copulation humaine. M'aprochant subtilement des deux jeunes corps en mouvement, je salivait deja à la perspective de bénificier d'un deux pour un. Un grand piquet de cloture masif trainait au sol, je me dépêcha de l'empogner et je me raprocha encore plus du charmant couple en action. D'un rapide lancer, je les transperca tout les 2. Je les rejoignit ensuite au pas de course, et j'arracha la tête de la jeunes fille , qui était sur le dessus, sous les yeux de son partenaire de jeu. Je me mit alors a dévoré le jolie visage de cette jeune blonde, à peine agée de 16 ans. Le visage de l'homme se crispa et sa bouche s'entrouvrit, mais aucun sons n'en sortit. Il resta ainsi pétrifié et mouru avec ce drôle d'air incrédule et terifier à la fois. J'arracha les 2 yeux gris du jeune gamin et je les engloutis. Je plaça les 2 nouveau corps avec celui de ma première victime de la soirée. Mon but de 3 victimes ayant été atteint trop rapidement à mon goût , je décida de me mettre à la recherche d'un petit dernier.

C'est alors que, au bout de la ruelle noir, j'apperçu le repas de mes rêve. Une femme d'environ 35 ans, 6 pieds, 450 livres au minimum, de gros mollet appétisant, et des cuisses tellement bien enrobé ! Elle avait lair tellement succulante que je laissa tomber ma subtilitée habituelle pour courir tout droit vers ce divin repas. Quand j'arriva à l'embouchure de la ruelle, j'avait perdu mon repas de vue, mais je n'allait pas abandonner aussi facilement. J'allait lui courir après toute ma vie si il le fallait, mais pour le moment, j'avait grand besoin de sommeil, j'alla donc me reposer dans mon sanctuaire. Il S'écoula 5 jours avant que les 3 corps fut conssomé dans leur totalitée, j'avait grandement perdu l'appétit, depuis que la demoiselle dodu m'est glisser des mains. Elle me disait quelques chose cette femme, je suis certain de l'avoir vu quelque part avant. Ou peut-être est-ce dans mes rêve ? Ouais, c'est surement ça, elle represente mon fantasme culinaire le plus fou. Ha, comme j'aurais envie de planter mes dents au travers de ces cuisses si alléchantes. Je la dévorerais tout doucement, en dégustant chaque petits grammes de chair de ce succulant gibier. Je n'avait même pas besoin d'y goûter pour savoir que ce serait un repas de rois, juste le fait d'y pencer , et la salive me coulait aux commisures des levres. Je jeuna 3 jours durants, pour avoir les idés claires, et je sortit alors pour la chasse de ma vie, je ne tuerais personne, juste la superbe fille de la ruelle, j'allait y passer la nuit, et des dizaine d'aute nuit si il le fallait.

Apres huit nuits de chasse infructueuse, je la vit enfin. Ses cuisse rondellette redondissant au rythmes de ses pas créa en moi une folie incroyable et m'ouvra l'apétit comme jamais. Je fonça sur elle, lui sauta sauvagementr dessus et la renversa. Je sentit alors une douleurs au cou, la dame m'avair arraché la jagulaire et commencait à boire mon sang. Et c'est a ce moment que la vie me quitta, j'eu à peine le temps, durant les 10 dernières secondes de ma vie, de me souvenir où j'avait vu cette femme, je m'en rappelait très bien à présent, et tout ce que j'avait envie de faire était de lui prendre la main et de lui dire :JE T'AIME MAMAN !



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