DÉVERGONDAGE


Ses grosse main sales lui massait la vulve, Tania détestait quand son beau-père agissait de la sorte, mais elle devait garder le silence, En ce laissant faire, cette jeune fille d’a peine 12 ans épargnait cette mauvaise sensation a sa petite sœur Joannie , âgée de 6 ans. Elle savait que si elle ne se laissait pas tripoter comme ca par son beau-père, c’est ca sœur qui écoperait. Ce petit manège durait déjà depuis 3 ans. Tania ne pouvait plus supporter mais elle n’avait pas le choix. Le vieux vicieux de Jean la menaçait sans cesse de mort si elle s’ouvrait la trappe. Elle avait voulut en parler a sa mère à plusieurs reprise, mais elle n’en avait jamais eu le courage. Depuis que ce petit jeux avait commencer, Tania était très dépressive, ses résultat scolaire avait terriblement chutés et elle se sentait totalement abandonner. Elle craignait tout les hommes, ils la répugnait. C’était la quatrième fois cette semaine. Jean la tripota ainsi durant une vingtaine de minutes, avant de ressortir de sa chambre pour aller dormir sur le canapé.

Un an plus tard, les attouchements n’avait toujours pas cessés. Elle fêtait ses 13 ans ce soir là, son salaud de beau-père jugea qu’elle était assez vieille pour recevoir son membre viril dans son vagin vierge. Après s’avoir excité sur elle, il tenta de la pénétré. Il y avait une grande résistance, mais Jean, guidé de ses instincts animal poussa un grand coup et réussit a entrer. L’incessant mouvement de va et vient faisait horriblement mal a la jeune fille, mais elle ne voulait pas crier, de peur que le vieux cochon ne lui fasse encore plus mal. Une dizaine de minutes plus tard, le beau-père se retira et alla au toilette se terminer manuellement, laissant Tania, le vagin meurtrie, gémissant faiblement dans son sang. Le lendemain matin, elle décida de tout déballer son sac a sa mère.

Elle commença a dévoiler son problème a sa mère, secrétaire de métier, et fut pris d’insoutenable sanglot. Elle dut s’y reprendre a quatre fois avant de tout dire. Sa jeune mère de 29 ans la traita de menteuse et la puni ; une semaine sans télévision, pour avoir racontée d’horrible mensonges. Tania eu alors l’impression d’être prise dans un gouffre dans issue, que personne ne la croirait jamais, que sa vie était foutue. Deux semaines plus tard, elle attentait a ses jours. Elle ouvrit la pharmacie de la salle de bain, et ingurgita les trois boites de tylenol, ainsi qu’un flacon de gélules sans étiquettes. Elle se rendit ensuite dans sa chambre, afin de se laisser mourir. Elle sombra rapidement dans les vapes, et se réveilla dans les bras d’une infirmière a l’hôpital général. Elle reçu la visite d’un psychologue, mais ne lui dévoila rien, elle avait l’impression que rien ni personne ne pourrais l’aider. Tania reçu son congé de l’hôpital 3 jours plus tard. De retours a la maison, elle n’eut que 2 jours de répit avant que son obsédé de beau-père recommence ses petites incursions nocturne. Cela continua 2 autres année durant. Elle soufrait de plus en plus, juste qu’au jour où elle atteint le niveau de la folie, et qu’elle décida de s’en sortir d’elle même.

Elle fit ses bagages, prête a partir a la découverte de la vie de la grande ville, espérant arpenter les rue , loin de toute ses connaissance. Elle allait être livrée totalement a elle même a l’âge prématurée de 15 ans. Etant sans ressources financière, elle décida de faire le trajets de 340 kilomètres l’a séparant de Montréal sur le pouce. Le premier à la ramasser était un jeune étudiant , il la transporta environ 200 kilomètres plus loin. Le jeune homme dans la jeune vingtaine avait été très cordial et aimable. S’apercevant qu’elle était sans le sous, il eu la gentillesse de lui donner 20 dollars avant de la laisser. Mais Tania refusa, elle était trop orgueilleuse pour accepter un tel don. Une demi-heure plus tard, elle embarquait abord d’un énorme camion de marchandise. Le chauffeur, un homme obèse et grisonnant s’offra de l’amener juste qu’au centre ville de Montréal, ce que la jeune fille accepta. La première demi-heure de voyage se déroula dans l’humour le plus total, le chauffeur bedonnant lui avait raconter toutes ses meilleurs farces. Mais le tout commença a se corser au moment où le conducteur se rangea sur l’accotement et commença à se montrer violent. Il lui sauta délibérément dessus et entreprit de lui retirer ses vêtements. Ceci étant fait, et plutôt facilement vu sa force supérieur, il abaissa sa fermeture éclair. Tout en touchant odieusement la petite, il sortit son pénis en érection et commença à le secouer frénétiquement. Il entreprit ensuite de pénétrer Tania. Il la viola sauvagement et ne se retira qu’après avoir éjaculé à 2 reprises. Il remonta sa braguette et conduisit la fillette à bon port. Bon elle avait été violée une fois de plus, mais une fois de plus où de moins, quelle différence ?, elle était bien habituée à ce genre de traitement.

Elle errait maintenant dans les rues de la méga-cité, seule, ne connaissant personne, et donc très vulnérable pour les gens de mauvaise volonté. Après 2 jours d’étinérence, le gourou d’un réseaux de prostitution l’approcha. Il lui fit découvrir les plaisirs de l’héroïne. Ce ne fut pas long qu’elle resta accrochée. L’homme lui fit alors une offre alléchante ; elle allait se prostituer pour lui, et en échange, il la logerait, la nourrirait, et surtout, la fournirait en stupéfiants. Elle accepta l’offre, de toute façon, qu’avait t’elle à perdre ? Au point où elle en était, ne voyant aucune sortit à son enfer. L’avenir n’existait pas pour Tania. Elle vit donc ainsi durant près d’un an, mais dû arrêter ce rythme effarant de vie en raison de la maladie. Elle était toujours malade. Elle avait besoin de plus en plus d’héroïne pour atténuer la douleur, et son chef de réseaux n’arrivait plus a la fournir convena-blement. Elle se retrouva donc à la rue. Ayant besoin d’argent pour payer sa dose quotidienne, elle commença à braquer dépanneur et épicerie à l’aide d’un fusil de plastique à l’allure très réel. Rongée par la douleur qui lui vrillait toujours le corps, elle prenait des doses de plus en plus puissante. Le temps passa, lentement, sans que Tania s’en aperçoive, elle avait perdu depuis longtemps la notion du temps. Un jour, souffrant trop de cette douleur dont elle ne connaissait pas l’origine, elle se rendit au CLSC pour passer une batterie de test. Elle continua sa vie de dévergondée 5 autres long mois, durant cette période, elle abandonna l’héroïne au profit du crack, qui lui offrait un high bien plus puissant. Elle retourna au CLSC pour connaître les résultats de ses tests. Ce qu’elle appris ne la surpris guerre, avec la vie qu’elle menait, c’était inévitable.

Tania, maintenant âgée de 17 ans, bientôt 18, prit la décision de retourner au domicile familiale. Le temps passa, cela fesait aujourd’hui 3 mois qu’elle était de retour. Jean entra dans sa chambre , et cette fois-ci, Tania lui sauta au cou et descendit la braguette de son beau-père. Celui-ci, plus excité que jamais, la baisa plus fort et plus longtemps que ce qu’il avait pus s’imaginer dans ses rêves les plus indécent. Le lendemain matin, Tania était introuvable, elle avait disparue une fois de plus. Après avoir fouiller la maison, Jean se dirigea dans les toilettes pour la pisse matinale. Se regardant dans le miroir, il aperçu un message inscrit au rouge à lèvre sur la porte de la pharmacie. Le message grossièrement écrit en rouge disait : GROS SALAUD, BIENVENU DANS LE MONDE DES SIDÉENS.


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