Jack L'éventreur


ce tueur en série, un des premiers, n'a jamais été retrouvé. Je ne peut donc pas faire comme avec les autres et vous décrire son enfance et son état psychologique, mais voici tout de même son histoire.

Jack l'éventreur est bien d'avantage qu'un serial killer:C'est une légende populaire. La notoritée de Jack the ripper nous fait parfois oublier que ses victimes son "seulement" au compte de 6. Si ce n'est pas son palmarès, l'extraordinaire sauvagerie de ses agressions, difficilement égalable, a certe de quoi lui conférer une réputation de maître incontesté dans son domaine.

Le 31 Aout 1888, un peu avant 4 heure du matin, la ville de Whitechapel s'éveille lentement. George Cross, un charettier, apperçois une masse immobile gisant sur le pavé. En s'approchant, il se rend compte que c'est une femme morte. 2 profondes entailles lui on trancher la gorge d'une oreille a l'autre. La victime a aussi été éventrée. Plusieurs longues incisions apparaissent sur l'abdomaine, les viscières sont à nue. Le corp était celui de Polly Nicholl, une prostituée. 3 semaines auparavant, une autre travailleuse du sexe était retrouver sans vie,avec 39 coups de poignard dans le corp. Était-ce l'oeuvre d'un même homme? Whitechapel n'était pas encore en proix a la panique, mais cela ne tarda guerre. Une semaine après le meurtre de Polly, quand on retrouva le corp mutilée d'Annie Chapman, c'est Londre tout entier qui fut terrorisé.

Annie Chapman avait la gorge tellement mutilée que l'on pouvait se demander comment la tête fesait pour tenir encore. Plus bas, le ventre était béant, le meurtrier avait prit les intestins à pleine main et les avais déposés sur les épaules de la victime.

Le 28 septembre, la police reçue cette lettre:
J'EN AI APRÈS LES PUTES, JE CONTINURAI DE LES ÉVENTRER
TANT QUE L'ON NE M'AURA PAS AGRAFFER. J'AI FAIT UN SACRÉ BON
BOULOT LA DERNIÈRE FOIS. LA PETITE DAME N'A MÊME PAS EU LE
TEMPS DE POUSSER UN CRI. J'AIME MON TRAVAIL ET JE VAIS RECOMMENCER.
MON COUTEAU EST BIEN AIGUISÉ...

Signé; Jack L'éventreur.

La police augmenta les effectifs policier dans la ville de Whitechapel. Mais cela n'empêcha pas le tueur de frapper à nouveau le 30 septembre, toujours de la même année; 1888.

À une heure du matin, un colporteur polonais rentre sa cabriole dans sa cour. Soudain, un de ses cheveaux commence à s'agiter. L'homme débarque de sa cabriole et appersoit une masse sombre. Il craqua une allumette et fit un bon en arrière , il venait de trouver le cadavre encore chaud d'une certaine Élizabeth Stride. La dépouille portait la traditionelle balafre d'une oreille à l'autre,mais aucune mutilation n'avait été perpétuer. La chaleur du corp laissait présager que le tueur, dérengé dans son travail, dû prendre la fuite en laissant son boulot inachevé. La victime à peine conduite à la morgue, que déja un autre corp était retrouvé à quelques rues de là.

En effet, vers 2 heures du matin, soit à peine une heure après la découverte du corp d'Élizabeth Stride, le policier Watkins fesait sa ronde quand il buta sur le corp inanimé d'une femme, Catherine Eddowes. Le spéctacle qui s'offrit à ses yeux n'était pas très beau a voir. La gorge avait été tranchée comme à l'habitude, mais le meurtrier avait prit le temps de défigurer sa victime. Une longue estafilade lui barrait le visage, le nez était coupé, ainsi qu'une partie de l'oreille droite. Jack s'en était également pris au levres et au yeux de la pauvre dame. Puis la femme avait été éventrée de la vessie à la cage toraxique et vidée de ses entraille, L'utérus et le rein gauche avait disparus,sans doute prélevés par Jack en guise de souvenir.

Quelques jours plus tard la police recevait un nouveau message signé Jack l'éventreur, mais accompagné cette fois-ci, d'un mystérieux bocal. La lettre en question disait:
CHER MESSIEUX, JE VOUS ENVOIT LA MOITIÉE DU REIN QUE
J'AI PRIT SUR UNE FEMME. GARDER-LÀ. L'AUTRE MOITIÉE JE L'AI
FAIT FRIRE ET JE L'AI MANGÉE. C'ÉTAIT DÉLICIEUX. JE VOUS
ENVERRAI PEUT-ÊTRE LE COUTEAU TACHÉ DE SANG SI VOUS ÊTES PATIENT...

Le médecin légiste qui examina le contenu du bocal fût formel: Il s'agissait bien d'un rein humain, identique à celui, restant, de Catherine Eddoues.

Début Novembre, la fièvre était retombée. Il n'y avait pas eu de nouvelles victimes pendant tout le mois d'Octobre. Mais Jack L'éventreur allait de nouveau frapper. Son sixième meurtre fût de loin le plus extraordinaire.

Le 8 Novembre au soir, Mary Kelly entra dans son appartement. On ne la revit jamais vivante. Le 9 au matin, vers les 10 heure, le propriétaire de l'immeuble vînt frapper à sa porte, pour collecter le loyer en retard. N'obtenant pas de réponce, il ouvrit la porte à l'aide de son double. Son regard se figea lorsequ'il découvrit deux morceaux de chair sanguinolents sur la table de nuit. Horrifié, il tourne la tête vers le lit. Là, un corps en charpie baigne dans une marre de sang. 5 minutes plus tard, la police et le médecin légiste sont sur les lieux. Ils découvrirent un véritable étal de boucher. La gorge avait été tranchée, la tête presque arrachée du tronc, de même que le bras gauche. Le ventre n'existait plus: les entrailles ont été éparpillier dans la pièce, les intestins étirés comme des guirlandes ou empilés dans un coin. Le foie est tombé au pied de la victime. Découpées comme des melons, les 2 seins ont été placées sur la table de chaque coté du nez. Le meurtrier avait le sens du détail. Une main avait été placée dans le ventre vide. Les cuisses avait été débitées et les masses de chaires jetées sur la table. Lardés de coups de couteau, le visage était en bouillie. Seuls les yeux ont été épargnés. Écarquillés par l'horreur, ils regardait dans le vide, dernier vestige d'humanité dans cette carcasse méconnaissable.

Ce fût son dernier meurtre, Surement le plus sanglant de l'histoire. Il termina sa carrière en beautée avec ce coup de maitre, personne ne su ce qu'il lui arriva.





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