LA NUIT NOIRE


Les cris percent de Sylvie Cardinal courait le long des grands couloir blanc de l'institue psychiatrique Barkland. Elle était en pleine crisse de démence, cela lui arrivait assez fréquemment. Docteur et psychiatre tentait de la calmer, car une autre injection de novril, un calmant extrêmement puissant, l'aurait tuer sur le coup. Sylvie était tout ligoter sur son lit à fixer les murs d'un blanc immaculés, et a crier, a grogner même pourrais t’ont dire, car ces plaintes n'avait rien d'humain. Elle crachait sur tout les médecins, ils on même dus lui mettre un linge dans la bouche pour pallier à cette contraindre. Apres 3 heures de crisse aiguë, elle sombra dans un état semi-comateux, effet des grandes dose de novril qu'on lui avait administrée. Elle commença alors a rêver à revoir son passé.

Elle se vit elle même à l’âge de 6 ans, le couteau a viande trop bien affûté à la main. C'était la soirée de Noël, une soirée de joie, mais pour la petite Sylvie, c'était la soirée M, M comme dans massacre. Elle se dirigeais vers sa mère, le long couteau serré de ses 2 petites main innocente, avec un large sourire dément, elle l'enfonça sans hésitation dans la chaire de sa mère. Le couteau s'y enfonça comme dans du beurre, et une traînée de sang giclât sur le sol, Sylvie riait, elle releva l'arme ensanglantée et la réenfonça dans cette forme ensanglantée qui était sa mère, elle finit par lui couper la tête devant le regard horrifié de la famille, trop sous le choc pour réagir. Elle se dirigea ensuite vers son grand-père, elle leva le couteau affûté au dessus de sa tête et l’abattit, son père eu malheureusement pas le temps de réagir et , ce n'est qu'après le coup à la tête du vieux Joe qu'elle fut maîtrisée et neutralisée avec du sparadrap et une longue corde. Elle fut liée au sapin de Noël . 2 ambulancier arrivèrent 10 minutes plus tard, sa mère était morte depuis plusieurs minutes, et le bon vieux Joe venait de s'éteindre , après une crisse cardiaque. À l'arrivée des services d'urgence, Simon , le père de la petite détraquée était introuvable, on le trouva le lendemain, pendu dans le sous-sol. Les ambulanciers s’approchèrent de Sylvie, et soudain, elle se réveilla , elle avait 32 ans, enchaînée a son lit comme une bête, car c'est ce qu'elle était, a fixée les murs blanc de Hanton Hill, elle venait juste de revivre son premier moment de démence, et elle était heureuse, elle l'avait vu aussi clairement que si cela venait tout juste de se produire, elle se rappelait de tout ses instants de folie, et elle aimait ca, c'était jouissif. Le manque de médicament se fît sentir et elle cria de nouveau, ses cris de douleur psychologique restèrent sans réponse , personne ne vint, et elle ne reçut que sa dose de novril que le lendemain matin. Apres sa forte dose, elle replongea dans son état de songe, et revît un autre passage de sa vie.

Elle avait 8 ans, dans son centre d’accueil, le centre Lénin , la maison de jeune le plus sévère et sécuritaire, elle était de loin la plus jeune, la moyenne d’âge dans cette établissement de correction était de 15 ans. Le psychiatre qui s'occupait de son cas était un dénommé Pierre Gnack, c'était un homme cruel qui ne pensait qua faire de l'argent, il considérait ses patients comme des nuls, des vermine a exterminées. Il donnait plusieurs capsule de codéine à la petite, malgré son très jeune âges. Elle en avait marre de cet homme, qui, en plus de la privée de tout, lui faisait des attouchements sexuels. Une fois, elle s'était plain, mais évidemment, personne ne la crue, et le psychiatre s'en sortit sans problèmes. Un beau soir, après s'être fait violée une fois de plus par ce Pierre sans coeur, elle décida de s'en débarrasser elle même. Le lendemain, monsieur Gnack entra de nouveau dans la chambre de Sylvie, mais elle était prête. Au moment ou il s’approcha suffisamment d'elle, elle sourit et sortit un morceau de bois, arraché plus tôt de son lit, elle recula et charcha le psy. Elle lui porta un violent coup a la tête, il tomba mollement au sol, avec un cris de rage. La petite démonne lui enfonça ensuite le pieux dans l’oeil droit, un liquide jaunâtre en sortit, mélangé à du sang. Les cris de Pierre alertèrent un gardien de l'institution , il défonça la porte, et il se rua sur la petite. Le gardien la maîtrisa sans difficultés, mais il était trop tard, Pierre Gnack avait déjà rendus l’âme. Sylvie riait encore, elle avait ce petit sourire tout ce qui a de dément. À l'époque, elle avait de long cheveux blond bouclés, et un visage angélique, ses beau cheveux était maintenant devenu d'un brun terne, et son joli visage n'était plus que marqué de douleur, et d'atrocités qui avait jonchées son long et douloureux passé.

Elle se réveilla, encore tout ligoter, elle avait fait une crisse durant son songe, ils lui avait administrée une autre dose de novril, et ça lui faisait déjà effets, elle replongea rapidement dans ses rêve démentiels. Elle se voyait maintenant à 12 ans, dans sa premiere institue psychiatrique, Pinel. Elle avait été enfermer là après le meurtre de Pierre Gnack. Une soif de sang et de violence l'habitait. Un bon soir, durant sa rencontre quotidienne avec le psy de service, Emile Rendford, Sylvie le menaça de mort. C'était là rien de nouveau venant de sa part, mais cette fois-ci, elle s'empara d'un coupe papier qui traînait sur le bureau de monsieur Rendford, et lui sauta a la gorge. Emile n'eut pas le temps de réagir, et voyant le sang gicler à grande pompe de sa gorge, il fut incapable de crier. Il essayait bien, mais tout ce qui sortait était un balbutiement de très faible intensité. A peine une minutes plus tard, il s'effondra au sol, dans son propre sang et mourut. La jeune fille s'assied à ses cotés, et commença à le transpercer de part et d'autre. Elle lui assena, au bat mots, au moins 110 coups de coupe papier. Elle regardait le psychiatre gisant dans la marre de sang, et elle sentait monter en elle un incroyable sentiment de bonheur et de bien être. L'image devint floue, et laissait la place à un autre souvenir des plus terrifiants.

Elle avait maintenant 15 ans, et logeait dans une institue renommer, Jupiter Hill. Cette endroit était à mi-chemin entre la psychiatrie et la prison. Pour aider les patients-prisonnier a se réhabilité, on leur attribuait des taches. Cette journée là, Sylvie était a la salle de lavage. Elle et un schizophrène nommé Alain Smith devait laver une centaine d'uniformes de détenus. Soudain, La fillette fut prit d'une pulsion meurtrière. Cela faisait 3 ans qu'elle n'avait commis aucun meurtre. Elle s’empara de la bouteille d'eau de Javel "La parisienne", fit sauter le bouchon , et aspergea son confrère Smith. Alain poussa un cris a vous éclater le tympan, et s’affaissa par terre. On aurait bien dit qu'il était en train de...fondre. Fondre oui, c'était bien le terme exact. Le liquide hautement corrosif consomma le corps du jeune homme assez rapidement, et les cris cessèrent à peine 30 secondes après l'arrivée des gardes. Sylvie sortit de son état végétatif, pensant toujours a ce Alain Smith. Il était sa dernière victimes, car après cet incident, elle avait aboutit ici, à Barkland, le top du top en matière de psychiatrie et de dopage des patients. Ici, elle était toujours droguée et ficeler a son lit blanc.

Elle recommença a crier a plein poumon, et deux infirmiers vinrent lui administrer un double dose de plus. C'était la première fois qu'ils devait lui en envoyer autant dans les veines. Ils avait mal calculer le dosage poids/quantité, et c'est pourquoi Sylvie Cardinal aboutie dans la salle d'urgence soufrant d’arrêt cardiaque. Elle entendait les docteurs parler, mais était incapable d'ouvrir les yeux. Un toubib confirma la mort de la patiente. Elle ressentit une chaleur désagréable et c'est alors que l'esprit de Sylvie comprit qu'elle ne reposerait jamais en paix, qu'elle resterait au purgatoire pour l’éternité.


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