LE BEAU-PÈRE


Putain de bordel de merde ! Les vacances sont terminées, Je doit retourner dans le gouffre scolaire pour affronter la deuxième partie de cette longue et emmerdante année. Ha ce que je peux détester l’école ! En plus , je suis en échec dans presque tout. Je voudrai bien décrocher de tout ce qui se nomme « éducation ». Ma mère , Adelina, ne voit aucune objection à ce que j’abandonne le lycée. Le seul problème c’est mon satané beau-père. Il dit que c’est important l’éducation. Important mon cul ouais ! Il me force à aller a l’école dans le seul et unique but de me voir souffrir. Me voir souffrir est un plaisir dont il a le grand bonheur de s’offrir, il s’en délecte même. Depuis que ma mère a épousé cet homme, ce qui fut une gaffe monumentale, il ne me laisse pas vivre une seule minute. Je suis un véritable esclave a ses yeux. Mais, en ce jour de janvier, j’en ai vraiment marre de lui et de son école si importante. Je tente donc ma chance une dernière fois ; d’une voix ferme et confiante, je lui demanda, ou plutôt lui annonça , que j’allait abandonner les études. Après tout, j’était âgé de 17 ans, et assez mature pour gérer moi-même mon avenir. Ca réponse me mit hors de moi : « Pas question sale petit morveux de fils de pute ».

Sur cet instant, la main de Daniel, car tel est son nom, se referma en poing et s’abattit sur ma joue gauche. Une sensation de chaleur emplis mon visage, et, je fixai Daniel droit dans les yeux, et me rendis soudain compte qu’il souriait, il souriait ce salaud ! Sa bouche, déformée de cet affreux sourire, laissait voir ses dents pourrie, et son haleine nauséabonde empestant l’alcool emplie mes narines. Cette fois, c’était assez, je sortit en claquant bruyamment la porte, bien décidé à me venger.

J’alla traîner dans un bar, pour picoler un bon coup. À mon douzième verre de liquide divin, on me mit a la porte. Il était trois heure du matin et l’endroit fermait. De toute façon, j’avait assez bu de bières , ce nectar si doux, pour ce soir. Tout au cours de cette soirée de beuverie, j’avait préparé un plan. Un plan de vengeance extrêmement cruel. Mon beau-père allait payer pour tout ce qu’il m’avait fait endurer. Je partis alors en direction de l’endroit le plus malfamés de la ville, l’auberge des trépassé !. Cette endroit était fréquenter par tout les malfrats et les truand de la ville. Mon intention était clair ; trouver un flingue. Ce fut assez facile. L’alcool aidant à sociabilisé, je n’eus besoin que de deux heures pour me trouver un colt de calibre .45. Une fois le pétard en poche, je me dirigea vers ma demeure.

J’habitait en fait un immeuble de 104 appartement, je vivait au 85. Les effets de l’alcool était à leur plus forts, mais je décida tout de même de mettre mon plan à exécution. Ma mère étant partie passer la nuit chez ma sœur Nadia, qui a sa propre maison depuis 6 mois, Daniel se trouvait donc seul. Je frappa à la porte, et dès qu’elle s’entrouvrit, j’appuya six fois sur la gâchette, vidant ainsi mon chargeur sur l’homme planqué derrière la porte. Une dizaine de secondes plus tard, la porte a ma droite s’ouvrit et la voix de Daniel retentit : « Non mais c’est quoi ce foutu bordel ? »

Un six et un cinq, ça se ressemble, vous trouver pas ?


Retours au menu des histoires.
Retour au menu principal