LE TRAITRE


Les murs était tapissé de jolie photos, Charles Manson, Ted Bundy, John Wayne Gacy.... Dans le lit de cette chambre , Julie, 16 ans, fumait doucement un petit joint 100% Jamaïque, assis devant la télévision. Elle écoutait le meurtre dans le sang pour la quatrième fois depuis ce matin. Ce film la faisait rêver, Elle lui avait inspiré tout plein de projets sanglant pour son avenir avec Dave, son amour. Mais voici que celui-ci la laissé tomber pour une autre fille. Pire encore, il était dans les bras de Nadia, la fille en question, une semaine avant de laisser Julie. Elle avait le cœur brisé, aucune ambition subsistait en elle, Elle venait de perde sa raison de vivre, la moitié d’elle même. La haine et le désespoir grandissait en elle, il n’y avait plus que ça, tout ce qui avait de bien en elle avait été anéanti a jamais par cette haine toujours plus forte. Julie avait toujours été un peut détraquée, mais maintenant c’était bien pire. Avant il avait l’amour pour apaiser ses démons, mais maintenant, les démons était en cavale et avait le plein contrôle de Julie.

Julie se leva et se dirigea vers la cuisine. Elle n’avait qu’une idée en tête, tuer cette salope de Nadia, la faire souffrir. Non mais pour qui se prenait t’elle pour lui chiper son amour comme ça ? Quoique ‘son amour’ n’était pas tellement mieux, ce conard l’avait trompé, il lui avait mentit, ho oui, ce salaud devrai payer lui aussi, et le payer très chère ! Dans la cuisine elle prit un grand couteau de boucherie, mais son père tenta de l’en empêcher. Julie, bien déterminée a accomplir son massacre, enfonça le couteau dans la tempe de son paternel. Le couteau transperça son cerveau de bord en bord , et a la sortie de l’arme, un morceau de cervelle pendait au bout. Elle tenta de retirer la lame, mais celle-ci cassa. Elle dut donc se contenter d’une autre arme. Elle jeta son dévolue sur un coupe papier bien affûté orné d’une fleur de lys. Elle trancha la gorge de son père, juste pour s’amuser un peu, car il avait rendu l’âme depuis plus de 2 minutes. Une fois le travail terminé, ayant la preuve que le coupe-papier était efficace, elle le laissa tomber au fond de sa poche et monta au grenier chercher la chain-saw de son père. Elle redescendit, la chain-saw d’une main et un gallon de gaz de l’autre. Elle remplit la chain-saw de gaz et l’activa, il restait encore la moitié du gallon dans le contenant. Elle dépeça son père en riant et en chantonnant, c’était tellement bon comme sensation ! Elle mit les restes du corps dans 3 sac vert et les jeta au ordures. En revenant vers la cuisine, elle regarda son reflet dans le miroir, elle n’avait jamais eu l’air aussi dépravée, une vrai épave. Ses cheveux noir, mouillés de sueur, retombait maladroitement sur ses épaules. Son chandail violet était taché de sang, voir même noyer de ce liquide rouge. Un filet de sang, pas le sien bien sur, coulait sur sa joue gauche, avec quelques morceaux de cervelle collé dessus. Julie fut dégoûtée et prise d’une soudaine envie pressante d’aller se doucher. Elle monta au deuxième, et fit couler l’eau. Le bruit que la douche occasionna l’empêcha d’entendre le bruit de la porte qui s’ouvrait. Céline, la mère de Julie, resta pratiquement paralysé devant tout ce sang qui souillait sa maison. Elle tenta bien de crier, de courir, d’appeler à l’aide, mais elle en était incapable. Céline s’affaissa sur le sol, elle venait de perde conscience.

Julie sortit de la douche , maintenant vêtu d’un chandail noir de Nine inch nails et d’un jean noir serré. Et aperçue sa mère. Elle dénuda Céline et lui enfonça un manche a balais dans l’orifice vaginal. Elle l’enfonça si profondément que tout l’intérieur du corps fut perforé. La mère reprit conscience, mais elle ressombra aussitôt. Le décès arriva assez rapidement et elle ne souffrit pas trop. Julie avait tuée ses deux parents, elle devait maintenant donner la mort a son frère de 14 ans, pour être sur que personne ne voit l’état de la maison et ne contacte le police. Plus de temps elle sauvait, plus Nadia et Dave allait souffrir. Rémi, le frère en question, était partit chez des amis mais devait bientôt revenir. Julie s’assied donc pour l’attendre patiemment , et elle profita de ce temps libre pour affûter sa collection de poignard.

Une demi-heure plus tard, Rémi se pointa comme prévu, mais un seul petit problème, il n’était pas seul. Quatre de ses amis l’accompagnait. Julie se lança dans le tas, les cinq garçons fixait la femme défoncée, Rémi pleurait et les quatre autres gerbait sur le parquet. Aucun d’entre eux n’avait donc pus apercevoir Julie les charcher, les yeux fous et les couteau en main. Armée d’un poignard a chaque main, elle fit une vrai boucherie. Le sang coulait a flots, les gamins était trop terrorisé pour réagir, et quelques minutes plus tard cinq corps de plus gisait dans une profonde marre de sang. Julie pouvait enfin partir pour commencer le vrai massacre. Elle courue a la cuisine, et remplis un sac a dos de couteau divers pour ensuite monter au grenier. Julie mit le feu au objet antique qui résidait au grenier. Elle redescendit et alluma 6 foyers d’incendie, pour être sur que la maison serait rapidement réduite en cendre. Julie avait un sourire dément accroché au lèvre, et les yeux injectés de sang.

Elle se mit en route vers la rue dutchester, au 1784, la demeure de son ancien amour. Après 25 minutes de marche, elle arriva enfin devant cette grande maison. La maison était très chic de l’extérieur, on voyait bien que le père de Dave avait un emplois très bien rémunéré. Il était vice président d’une grande compagnie téléphonique. Julie monta sur le porche et alla appuyer sur la sonnette, qui a elle seul, devait bien valoir 180$. Une dame âgée vint répondre a la porte, c’était Ginette, la femme de ménage. Elle lui annonça que Dave était parti chez Nadia. Julie sortie une de ses armes et l’enfonça dans la poitrine charnue de la pauvre vieille dame. Le couteau s’y enfonça comme dans une livre de beurre, et le sang gicla à grande pompes. Julie pénétra la somptueuse demeure et se dirigea vers la chambre de son ex, au deuxième étage. Elle avait bien sur prit le soin de trancher la gorge de la ménagère avant de monter. Le richissime père de Dave était absent, sans doute encore partit a un de ses congrès. Cela ferais un meurtre de moi dans le répertoire de Julie, mais bon elle allait bien finir par se rattraper. Elle pénétra la chambre du salaud et se mit a la recherche du numéro de téléphone ou de l’adresse de Nadia. Après quinze minutes de recherches infructueuse, elle ne put résister a l’envie de tout casser. Elle commença a lancer sur le mur tout ce qui lui passait sous la main. Quand tout fut brisés, elle prit un de ses nombreux poignard affûtés et se mit en tête de déchiqueter le lit. Ce lit ou elle et Dave avait tant baiser, mais il avait peut être baiser Nadia dans le même lit ? Valait mieux le détruire. Et c’est en s’exécutant qu’elle tomba sur le carnet d’adresse de ce chère Dave. Elle arrêta net la décapitation et se mit rapidement a feuilleter le carnet a la recherche de l’adresse de cette putain appeler Nadia. Elle la trouva assez rapidement, 820 DuHarfang. Dix minutes de marche seulement ! Elle se souvint soudain d’un truc, le père de Dave était un adepte de la chasse, et qu’il laissait son douze dans le salon. Julie alla donc le chercher , et prit au passage quelques munitions dans la chambre du vieux chasseur. Elle repartit ensuite, fusil de chasse a l’épaule, vers le 820 DuHarfang. Elle avait l’air tellement démente avec le flingue que tout ceux qui la croisait dans la rue prenait leur jambes a leur cou et déguerpissait au pas de course. Couverte du sang de la femme de ménage, Julie marchait de plus en plus vite. Elle était bien décidée a faire souffrir Dave et sa pute, mais deux policier en patrouille la croisa , et disons qu’une jeune fille couverte de sang et armée d’un fusil de chasse , ça ne passe pas très inaperçue. La voiture s’immobilisa, et deux moustachue vêtu de bleu en sortirent, arme a la main. Le chauffeur ordonna à Julie de déposer son arme au sol. Elle feinta le geste de le déposé, mais, a la dernière secondes, elle se ravisa et fit feu en direction des agents de la paix. Elle atteignit le passager à la tête et celle-ci explosa sur le choc. Son compagnon de patrouille fut asperger de sang. Le policier survivant tira en direction de Julie, mais elle s’était empressée de saisir un passant et de s’en servir comme bouclier. Cette idée fut très fructueuse car l’otage eu la cage thoracique défoncée. Julie laissa tomber le corps et fit feu sur le policier restant. Le balle lui déchiqueta l’épaule sur le coup. Elle explosa ensuite la cervelle de l’otage qui gisait par terre et se dirigea vers l’auto patrouille. Elle poignarda le patrouilleur encore vivant à 26 reprises et lui subtilisa son arme de service, ses menottes, ainsi que son trousseau de clefs. Elle entra dans la voiture et actionna le moteur de l’engin. Pour se rendre a la maison de Nadia le plus rapidement possible, elle actionna les gyrophares et se mit en route a la quatrième vitesse. Vitres baisser, elle ne s’était pas gênée pour flinguer quelques passants et écrabouiller quelques piétons.

Rendu à destination, elle ne prit pas la peine de frapper, et elle heurta la façade de l’immeuble de plein fouet. Une partie du mur de briques s’effondra , et Julie fut sauvée par le cousin gonflable et grâce a la résistance de la voiture de police. Elle sortie du véhicule et tira dans une fenêtre avant de pénétrer la maison par celle-ci. Elle aboutit dans le salon, et elle aperçue Dave et Nadia en train de se rhabiller, elle remarqua aussi un liquide blanc qui pendait au coin des lèvres de la salope. Elle bondit sur Nadia, et d’un violent coup de coude, l’a mit K.O. Nadia s’effondra au sol, sans connaissance, et un filet rouge vif vint remplacer le blanc opaque au coin de ses lèvres. Sous la menace du fusil de chasse Dave se fit passer les menotte au poignet. Julie lui assena deux bon coups de pied entre les jambes, ainsi que plusieurs coups a la tête. Nadia reprit conscience , et questionna Julie pour savoir ce qui se produisait. Julie lui donna un puissant coup de poing dans le ventre et Nadia plia en deux instantanément. Julie cogna ensuite Dave une autre fois, et le sang se mit a couler en abondance sur son chandail jadis d’un blanc immaculé. À bout de sang, Dave s’adressa à Julie et lui dit que c’est elle qu’il aime, que Nadia n’est qu’une passagère. Les deux filles se regardèrent dans les yeux et n’eurent pas besoin de parler pour se comprendre. Elles s’en prirent toute deux a Dave. Il fut démembre par deux filles enragée, à main nue...


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